mpox

7. Prévention et traitement


Sur recommandation de l'OMS fin 2022, le terme « mpox » est désormais utilisé à la place de « variole du singe ».


La plupart des infections au mpox guérissent spontanément. Il n'y a donc en général pas besoin de traitement spécifique, et des médicaments contre la fièvre, la douleur ou pour calmer les démangeaisons sont suffisants si besoin.

Dans de rares cas et selon la situation, un traitement antiviral est proposé par les professionnels de santé.

A ce jour, la meilleure méthode de prévention est de détecter le plus tôt possible les personnes ayant contracté le virus. L'objectif est d'éviter qu'elles ne contaminent d'autres personnes et ainsi casser les chaînes de transmission. 

Si vous avez été en contact intime avec une personne ayant reçu le diagnostic confirmé mpox, informez-en un professionnel de la santé au plus vite (votre médecin traitant, Checkpoint, GSG, par exemple).

 

Pendant 21 jours après le dernier contact avec la personne testée positive au mpox :

  • Soyez attentif à l'apparition de symptômes du mpox (symptômes grippaux et/ou lésions de la peau) et mesurez votre température corporelle au moins deux fois par jour. Si des symptômes apparaissent, contactez un médecin en signalant cette exposition au mpox.
     
  • Evitez les contacts et adaptez votre comportement pour éviter de transmettre la maladie à d'autres personnes. Par exemple et par mesure de précaution, vous pouvez faire preuve de prudence en : 
    • limitant vos contacts
    • renonçant à tout rapport sexuel
    • évitant absolument tout contact physique avec les personnes à risque (enfants en bas âge, personnes âgées, personnes immunosupprimées, femmes enceintes)
    • renonçant à dormir dans le même lit qu'une autre personne
    • réalisant un lavage des mains régulier
    • évitant de partager les objets (linges, draps, vaisselle, etc.) ou d'utiliser les mêmes sanitaires que les autres personnes.
Dernière mise à jour
8 février 2023

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