Smart cities... un effet de mode ?

Date de publication
4 février 2019
Un effet de mode ?
Un effet de mode ?
Genève Lab participe à un café scientifique organisé par l'association Bancs publics

Lundi 28 janvier dernier, Christopher Larraz, membre du Genève Lab a eu le plaisir de participer à une table ronde, en compagnie de Giovanna Di Marzo Serugendo (Université de Genève), Didier Faure (Innobridge) et René Longet (expert en développement durable), et animée par Danielle Bütschi.

Si la Smart city, « Smart Geneva » sur notre canton, est porteuse d'opportunités, il s'avère qu'elle véhicule aussi des risques, notamment dans le domaine de la protection des données privées. Parmi les pistes évoquées pour réduire ces risques, il a été fait mention d'un comité éthique, ainsi qu'une approche « living lab » (telle que portée par Genève Lab). Cette dernière vise en effet à intégrer le plus en amont possible la société civile dans les différentes projets.

Les aspects environnementaux ont également fait l'objet de plusieurs interventions, en insistant sur le fait que la technologie doit être au service des enjeux majeurs et non pas le contraire.

Un effet de mode ? Très probablement pas. La poussée opérée par la technologie est importante et ne cessera pas. Par exemple, la ville de Barcelone est exemplaire de réalisations dans un cadre Smart city s'inscrivant pleinement dans une approche discutée lors de cette table ronde et suscitant visiblement une adhésion du public. En conclusion et comme évoqué lors de cet évènement, il est vraiment primordial d'impliquer la population de notre territoire, afin de s'assurer que cette technologie reste aussi au service des habitants.

 

 

 

 

 

 

Date de publication
4 février 2019