
Le Prix Töpffer international revient à la meilleure bande dessinée en français parue dans l’année.
Il a été remis à :
Hugues Micol pour Scalp, la funèbre chevauchée de John Glanton et de ses compagnons de carnage, éditions Futuropolis, 2017.
En se basant sur le personnage du mercenaire sanguinaire John Glanton, Hugues Micol livre un récit hallucinant, bien loin de la légende héroïque de la conquête de l’ouest.
Le Prix Rodolphe Töpffer Genève récompense le meilleur album réalisé en 2017 par un-e Genevois-e.
Il a été remis à :
Pascal Matthey pour Les Têtards, éditions L’employé du Moi, 2017
Cet album à l’approche narrative minimale est composé d’un ensemble d’anecdotes qui racontent la vie d’un garçon d’une dizaine d’années en Suisse Romande.
Le Prix Töpffer pour la jeune bande dessinée renforce le soutien à la scène locale en attribuant un prix destiné à un-e auteur-e âgé-e de 15 à 30 ans n’ayant pas encore publié.
Il a été attribué à :
Sam Fagnart pour Modern days : Livre 1
Né en 1996, Sam Fagnart a grandi à Genève. Après un CFC de graphiste au CFP Arts et une maturité professionnelle, il étudie actuellement la communication visuelle à la HEAD – Genève. Son album Moderne days livre une histoire poignante, servie par une belle audace de narration et de dessin.